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Rendez-vous du jour: mardi 17 avril
09h00
Conférence: Sign and Sense, Alba-Académie libanaise des beaux-arts
Conférence réalisée et communiquée
par les élèves du Master 1 de l’Ecole
des Arts décoratifs de Beyrouth -
section Arts graphiques et
spécialisation en Direction artistique.
Elle a pour but de créer des échanges
culturels autour de la problématique
d’une signalétique idéale. Cette
conférence est l’occasion de rencontres,
de partage de compétences et de
constitution de réseaux internationaux.
Elle comprend trois manifestations
se déroulant en parallèle :
• Un symposium réunissant des
universitaires locaux et internationaux
(Paris, Berlin, Bombay et Beyrouth)
• Un atelier associant des étudiants
venus des quatre destinations, qui
échangeront leurs connaissances,
leurs expériences et leurs émotions
en matière de signes, d’enseignes
et de signalétiques.
• Une exposition de photographies
d’enseignes issues de cultures et de
pays différents
20h30
Danse: Bipod : Jessica and Me, D Beirut
En cours
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Expo:
Collection permanente : Eight Stories From the Sursock Museum Collection, Musée Sursock, du 15/09/17 au 31/08/2018
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Expo:
Picturing History, Pierre Sadek, Musée Sursock, du 07/02/18 au 30/04/2018
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Expo:
Perpetual Identities, Katya Traboulsi, Saleh Barakat Gallery, du 09/03/18 au 28/04/2018
Katya Traboulsi expose 46 répliques
artisanales de bombes de guerre libanaises
ornées de motifs colorés, perles
et formes sculptées. Chacune de ces
bombes porte une iconographie associée
à une identité nationale. L’interaction
entre la forme de la bombe et le
contenu iconographique pose une tension
entre la guerre et la culture. La
transformation d’objets militaires
détruits en beaux vaisseaux décorés,
démontre que la culture peut survivre
dans les temps sombres. L’artiste lance
un livre sur le projet pendant le vernissage
de l’exposition.
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Expo:
La Foule : Une selection d’images de la Collection Fouad Debbas, Musée Sursock, du 09/03/18 au 04/06/2018
Rassemblée pour assister au spectacle,
la foule se presse et le photographe
répond à l’appel. Le spectacle qui se
déroule n’est que le résultat d’une
action désorganisée, à la différence de
la photographie de groupe, qui, elle, est
orchestrée par le photographe
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Expo:
The Story of the Rubber Tree, Abed al Kadiri, Musée Sursock, du 09/03/18 au 04/06/2018
Première exposition d’Abed al-Kadiri au
Musée Sursock où il présente des peintures,
une installation sculpturale et
une vidéo
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Expo:
La Vitrine : Lies,  | |  | | Raed Yassin Né à Beyrouth en 1979, Raed Yassin est un artiste visuel et vidéaste. Il est également musicien Raed Yassin Né à Beyrouth en 1979, Raed Yassin est un artiste visuel et vidéaste. Il est également musicien (contrebasse, électronique). Diplômé en théâtre de l'Université libanaise de Beyrouth, Yassin utilise des images, de la musique et du texte pour traiter des thèmes relatifs aux médias, la culture pop, la pornographie, la ville, le cinéma arabe, l'histoire de l'art contemporain, les catastrophes et les archives. Il a exposé en Europe, au Moyen-Orient, aux Etats-Unis et au Japon. Actuellement, il vit et travaille entre Amsterdam et à Beyrouth. | |  | |  |
Raed Yassin, Beirut Art Residency, du 27/03/18 au 24/05/2018
La Vitrine est réservée à Raed Yassin qui
utilise un langage visuel pour faire allusion
à la réalité inventée dans laquelle
nous vivons. Se déplaçant facilement
entre différents médiums, l’installation
de Yassin reflète les conditions sociales
et politiques qui nous entourent.
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Expo:
Dialogues, Hala Matta, Paola Sakr, Joy Mardini Design Gallery, du 29/03/18 au 05/05/2018
Dialogue entre les deux designers Hala
Matta et Paola Sakr autour de leurs
travaux, de leurs expériences personnelles
et les formes géométriques.
Chaque designer dévoile une série
d’oeuvres : la collection de Hala remet
en question la mimétique. Paola Sakr
explore la relation entre espace
et lumière, en jouant sur les notions
de transparence, de réflexion et
d’intersection de textures contrastantes
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Expo:
Flower Market, Souks de Beyrouth (Fakhry Bey), du 29/03/18 au 30/04/2018
Laissez-vous inspirer par toutes les
fleurs et plantes colorées sur ce marché
au centre-ville.
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Expo:
Marwan Tahtah, De Prague, du 01/04/18 au 30/04/2018
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Expo:
Entre les temps, Antoine Claes, Galerie Cheriff Tabet, du 03/04/18 au 11/05/2018
Antoine Claes est né à Montréal en
1971. Ses tableaux sont des arrêts sur
image issus de déambulations urbaines,
de voyages vécus ou projetés. Il s’attarde
d’abord aux crépuscules industriels,
en marge des villes : façades et
fenêtres mordorées d’anciennes manufactures,
machineries portuaires
vétustes, tours en chantier, suspendus
dans des radiances d’entre les temps. Sa
manière, qui amalgame l’esprit impressionniste
au laconisme du réalisme
américain, porte depuis ses débuts la
marque de l’échantillonnage photographique.
Le travail des artistes de rue
qui revitalisent les quartiers en retrait
où il a puisé ses sujets le pousse peu à peu à s’inventer une façon décalée de
signer le paysage. Aujourd’hui, ses
images évoluent vers une abstraction
croissante, où les traces de la figuration
numérique ou de violents gestes colorés
viennent perturber l’ordre ancien et
révéler les échafaudages d’une nouvelle
appropriation du visible.
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Expo:
Schizopoésie, Samah el Hakim, Institut français de Beyrouth, du 05/04/18 au 27/04/2018
Dans cette exposition, Samah el-Hakim,
graphiste et illustrateur, reviens à la
langue française à travers un ensemble
d’oeuvres typographiques dans un style
particulier qui reproduit les phrases
écrites en français avec des lettres
arabes. Chaque oeuvre transmet au spectateur
une image qui illustre une phrase
de son point de vue sans nécessairement
traduire les dimensions du sens initial.
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Expo:
Verité et verités, Hassan-Behrouz Lavassani,  | |  | | ArtlabBeyrouth, Gemmayzeh, Rue Gouraud, imm Rmeil (03) 244577, www.art-lab.meArtlab expose des œuvres contemporaines créées par des artistes locaux, régionaux et internationaux. La galerie se propose de devenir un foyer de rencontre entre l’Orient et l’Occident, pour les artistes du Levant et d’Europe. | |  | |  |
Artlab, du 05/04/18 au 28/04/2018
Les violences contre les minorités au
Moyen-Orient ont révolté l’artiste
Hassan-Behrouz Lavassani qui a été
notamment bouleversé par une tentative
d’invasion du couvent de Saint
Jacques-le-mutilé à Kara au Nord de
Damas. C’est ainsi qu’il a dessiné sa
première croix dédiée à ce couvent. Il
a, depuis, multiplié les oeuvres pour
plusieurs saints et saintes d’Orient. Les
croix que Hassan dessine ont une portée
universelle. Ses oeuvres sont faites
depuis 1999, avec la même plume qui a
sillonné le monde avec ses différents
pigments. L’exposition invite le
Moyen-Orient à se réconcilier avec son
histoire, l’histoire de l’humanité.
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Expo:
Colorful Songs, Zeinab Dandash,  | |  | | Galerie ZamaanBeyrouth, Hamra, rue Sadate, impasse 13 (01) 745571, www.zamaangallery.comLa galerie Zamaan a débuté ses activités en France en 1978, sous le nom de Meacob (Middle East Antiques Circles of Beirut), proposant des photographies du Liban du début du XXe siècle. Installée aujourd’hui à Beyrouth, la galerie propose chaque année une dizaine d’expositions d’art. | |  | |  |
Galerie Zamaan, du 05/04/18 au 05/05/2018
Zeinab Dandash expose des toiles qui
évoquent son enfance perdue dans le
temps. La petite fille qu’elle a été renaît
dans ses toiles pour se souvenir des
vieux temps, de Feyrouz et des Rahbanis
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Expo:
Chaque instant, Charles Belle,  | |  | | Galerie Alice MogabgabBeyrouth, Rue Achrafieh, Immeuble Karam, 1er étage (01) 204984, www.alicemogabgab.com La galerie Alice Mogabgab a été fondée en 1994 à Beyrouth. Depuis, elle présente les tendances internationales de l’art et expose les œuvres d’artistes jeunes et confirmés du Liban et d’ailleurs. | |  | |  |
Galerie Alice Mogabgab, du 10/04/18 au 31/05/2018
Pour ses vingt années de collaboration
avec la Galerie Alice Mogabgab, habité
encore et toujours par la nature qui
l’entoure, Charles Belle revient, avec
une nouvelle série de peintures : des
paysages représentant des champs
d’herbe. Si les fleurs aux couleurs éclatantes
revendiquaient leur glorieuse
beauté et imposaient leur voluptueuse
autorité, les paysages récents explorent,
à travers les ondulations de la nature,
l’indéniable fluidité du temps. Le sujet
est d’une humilité déconcertante ; des
herbes indomptées envahissent l’espace
vierge de la toile, poussent, oscillent,
se penchent, invitent et troublent. La
main de l’artiste plane au-dessus des
prairies blondes. Elle les effleure, les
caresse, glisse dans les méandres du
vent et ouvre les sentiers du silence
pour se perdre dans les frémissements
de la nature. Le souffle du peintre se
mêle à celui de son modèle ; l’un respire
pendant que l’autre dessine au
rythme des vagues champêtres. Les
couleurs déployées sont celles de la
lumière, du vent, du silence, du parfum.
Avec ces tonalités de l’insaisissable,
Charles Belle tente de rendre compte de
l’impression d’une nature en devenir et
non de l’image d’une réalité, de la vie
en continu et non d’une représentation
passée, de la sublimation de la peinture
devant la vie, chaque instant.
Mardi 8 mai à 19h00, François Royet
présente à la Galerie les films qu’il a
réalisés sur Charles Belle et son oeuvre
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Expo:
Lines of Thoughts, Maroun Chaccour, 392Rmeil393, du 10/04/18 au 03/05/2018
Maroun Chaccour peint des couleurs et
des lignes sauvages
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Festival:
Bipod, du 11/04/18 au 27/04/2018
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Expo:
Early Works 1964,  | |  | | Huguette Caland Huguette Caland est née à Beyrouth, Liban en 1931, elle est la seule fille du premier président de Huguette Caland Huguette Caland est née à Beyrouth, Liban en 1931, elle est la seule fille du premier président de la République au Liban. Elle commence à peindre à l'âge de 16 ans sous la tutelle de Fernando Manetti, un artiste italien qui réside au Liban. Elle étudie ensuite l'art à l'Université américaine de Beyrouth, puis finit par s'installer à Venice, en Californie, en 1987. Caland fait partie d'une génération d'artistes, aux côtés de Shafic Abboud, Yvette Achkar, et Helen Khal, qui représentent les principaux acteurs de la scène artistique libanaise après l'indépendance qui ont façonné l'identité artistique du pays. Les œuvres de Caland ont été exposées à la galerie Delta à Rome, au Musée d'art moderne, le Musée Faris à Paris, le Centre Art Monaco à Monte-Carlo, Fondation Joan Miro à Barcelone et à la Biennale de Venise en Italie. Elle a également participé à Europ'Art (Genève) et Start'Art (Strasbourg). Ses œuvres ont été vendues au cours de ventes aux enchères organisées par Christie’s à Dubaï, ainsi que chez Sotheby’s à Londres. Le travail de Caland est dans les collections de la Bibliothèque nationale et le Fonds national d'art contemporain à Paris. Son travail est présent dans de nombreuses collections privées au Liban, en France, au Royaume-Uni, au Canada et aux États-Unis. Une exposition, tenue en janvier 2013 au Beirut Exhibition Center, a célébré 50 ans de carrière de Caland. Plus de 200 œuvres (dessins, peintures, sculptures et vêtements) provenant de la collection de l'artiste et de collectionneurs d'art libanais y ont été exposées. | |  | |  |
Huguette Caland,  | |  | | Galerie Janine RubeizBeyrouth, Raouché, Ave Charles de Gaulle, imm. Majdalani (01) 868290, www.galeriejaninerubeiz.comJanine Rubeiz fut la fondatrice du premier centre culturel libanais Dar el-Fan inauguré en 1967. Sa fille Nadine Majdalani Begdache prend la relève à son décès, en 1992, et crée une galerie, portant le nom de Janine Rubeiz. La galerie accueille régulièrement des artistes libanais et internationaux ainsi que des jeunes talents. | |  | |  |
Galerie Janine Rubeiz, du 11/04/18 au 10/05/2018
Cancer et Soleil Rouge, deux titres pour
une même oeuvre, la première, qui
symbolise à la fois la mort et le début
d’une aventure. 1964 sera l’année
décisive. L’envol vers une autre vie,
loin des sentiers battus, loin de toutes
obligations. Liberté et quête de soi. Une
ancienne ferme se transforme en atelier,
excentrée, en bordure de la propriété sur
laquelle se trouve la maison familiale,
première étape d’un voyage atypique. Un
choix de vie, comme le sont les abaya,
ces robes amples qui deviennent les
vêtements quotidiens, les cours à
l’Université Américaine de Beyrouth, les
nouveaux amis aux voix graves, aux rires
tonitruants et à l’imagination fertile.
Les grandes tablées du dimanche midi
ouvrent de nouveaux horizons tout en
offrant une nette coupure avec le passé
bourgeois et politique de la demeure.
Les débuts d’Huguette Caland en 1964
prennent racines dans la poésie d’une
maison entourée de jardins fleuris,
d‘arbres fruitiers, des terrains encore
rocailleux de Kaslik et la mer, dans la
rencontre avec John Carswell et Arthur
Frick et dans son groupe d’amis proches
Helen Khal, Waddah Faris, Aref el-Rayess
mais aussi Moustapha Ariss, May
Joumblat et d’autres, nombreux, qui
soutiendront chacun à sa manière les
débuts de l’artiste qui émerge dans cette
personnalité hors du commun. Sans
rupture aucune, un chemin se dessine.
Avec sa force tranquille Huguette Caland
produira alors un travail en rapport avec
ses cours, des oeuvres abstraites et
géométriques, des essais de couleurs,
travaillant les pigments et différentes
techniques, ainsi que des portraits.
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Expo:
Capturing the Ephemeral, Karine Wehbé, BAR Project Space, du 11/04/18 au 11/05/2018
Karine Wehbé s’intéresse à la vie
éphémère des stations balnéaires au
Liban Nord. ‘The Beach Resorts of
Northern Lebanon’ est un projet à long
terme axé autour de l’architecture et de
l’histoire du littoral au Liban. Karine
examine les histoires personnelles et
collectives qui se transforment au fil
du temps en une demi-fiction. Des
histoires qui se déroulent dans une
architecture intentionnellement
construite autour des vacances de luxe.
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Expo:
Sci-Fi Trilogy, Larissa Sansour, Dar el-Nimer, du 11/04/18 au 06/06/2018
Une exposition de Larissa Sansour qui
regroupe trois de ses films : A Space
Exodus (2009), Nation Estate (2012) et
In the Future They Ate From the Finest
Porcelain (2016). Ayant en commun les
thèmes de la perte, de l’appartenance,
du patrimoine et de l’identité nationale,
les films explorent les aspects de la
tourmente sociale et politique au
Moyen-Orient. En utilisant le langage
de la science-fiction et de la production
sur papier glacé, la trilogie de
Sansour présente une narration d’un
Moyen-Orient au bord de l’apocalypse.
Les trois films sont présentés avec des
installations connexes, des oeuvres
sculpturales et photographiques.
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