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Nous avons le plaisir de reprendre le magazine de l’Agenda Culturel pour vous annoncer les activités artistiques et culturelles des jours à venir !

Même si la dernière guerre fut un coup très dur, les libanais à leur habitude, ont vite repris du poil de la bête et les activités reprennent enfin. 

De notre côté nous avons lancé l’Agenda Culturel en France parce que, lecteurs et artistes, vous êtes de plus en plus nombreux à être installés dans l’hexagone. Nous avons répertorié plus de 50 évènements d’artistes libanais se produisant en France en novembre et le même chiffre pour le mois de décembre ! Entre le Liban et la France, la frontière culturelle est souple et perméable et les échanges incessants. Pour le bonheur de tous ! C’est donc au-delà de ces mêmes frontières que l’Agenda Culturel continuera sa mission d’informer, de fédérer et de rassembler la communauté libanaise sous l’auvent de l’Art et de la Cuture.

Mais pour le moment, retour à Beyrouth qui sort juste d’une énième et sauvage épreuve. Prenez un break ! Laissez-vous tenter par une expo, une pièce de théâtre, un concert etc. et le temps d’un moment vous entourer de beauté et de culture.


En couverture

Samia Osseiran Junblat est l'une des grandes femmes artistes de sa génération, très respectée et admirée dans les communautés artistiques libanaises et régionales. Son travail est un témoignage de persévérance dans les moments de difficultés personnelles et sociétales. Son éducation et ses voyages ont enrichi ses goûts culturels et son tempérament artistique. Sa créativité la pousse à explorer différents styles, supports et sujets. Sa collection comprend un large éventail d'œuvres dynamiques et diversifiées, qui sont appréciées par les institutions libanaises, comme en témoignent les nombreuses expositions de ses œuvres au Salon d'automne du musée Sursock au fil des ans. En outre, ses œuvres ont été exposées dans certaines des galeries les plus prestigieuses de Beyrouth, notamment la Galerie Tanit et la Galerie d'art Agial. Son statut d'artiste au Liban est confirmé par la profonde appréciation du public pour son travail.

Texte extrait d’un article de Maie el-Hage publié par Fiker Institute et Barjeel Art Foundation