Où sont nos acteurs culturels en temps de guerre et que font-ils ?
L’Agenda Culturel est allé à leur rencontre pour les interviewer et les écouter.
Randa Asmar, actrice. Vit à Beyrouth.
Comment allez-vous ?
D’un choc à l’autre.
De quoi est fait votre quotidien en temps de guerre ?
Télé, télé, télé…Téléphone…
Continuez-vous votre activité artistique ?
Bien sûr que non, mais j’appelle mes amis artistes très souvent pour me rassurer qu’ils vont bien.
Comment envisagez-vous l’avenir du Liban ?
Un pays très très vieux, sachant que nos vieillards politiciens ne nous donnent même pas l’opportunité d’envisager quoi que ce soit.
Pour tromper la peur, que suggérez-vous à nos lecteurs comme :
Livres : L’immortalité (Milan Kundera)
Séries : Documentaires ARTE
Œuvres musicales : Tout Jean Sébastien Bach, tout Ludwig van Beethoven
Podcasts : Pas très branchée
Un dernier mot ?
Si ce pays arrive encore à trouver un tout petit souffle d’espoir, c’est grâce à l‘authenticité de ses acteurs culturels.
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